A ces délicieux moments, enroulé contre un être doux et délicat,
bercé par le roulis de sa voix pareil au ronronnement d'une source d'eau claire.
A cet havre de quiétude bien qu'il ne soit que rêverie.
Chaque réveil, depuis longtemps déjà, est un serpent sans faim qui me mord au cœur.
La peau s'écaille.
brunothievet
brunothievet
Vendredi 22 juillet 2011 à 20:33
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